Coquilles farcies aux épinards et au prosciutto
Ingrédients :
1/2 lb (250 g) de grosses coquilles (env. 32 coquilles)
1 paquet (284 g) d’épinards frais, parés
1 c. à thé d’huile d’olive
1 oignon haché
125 g de prosciutto coupé en dés
1 1/2 tasse ( env. 180 g) de fromage Fontina râpé
1 tasse (250 ml) de fromage Ricotta
1 œuf battu
1 c. à table de basilic frais, haché ou 1 c. à thé de basilic séché
1/4 c. à thé de noix de muscade fraîchement râpée
1/4 c. à thé de poivre
3 1/2 tasses de sauce à spaghetti sans viande
1/2 tasse de parmesan fraîchement râpé
Préparation :
1. Dans une grande casserole d’eau bouillante salée, cuire les coquilles 7-8 minutes ou jusqu’à ce qu’elles soient al dente. Rincer à l’eau froide et égoutter.
2. Dans la même casserole d’eau bouillante, cuire les épinards pendant environ 2 minutes ou jusqu’à ce qu’ils soient tendres. Bien égoutter et laisser refroidir. Presser les épinards pour enlever l’excédent d’eau, puis les hacher.
3. Entre-temps, dans un grand poêlon profond, chauffer l’huile à feu moyen. Ajouter l’oignon et cuire, en brassant souvent, pendant 5 minutes. Retirer le poêlon du feu. Ajouter les épinards, le prosciutto, la moitié du fromage Fontina, le fromage Ricotta, l’œuf, le basilic, la muscade et le poivre et mélanger.
4. Étendre 1 tasse de la sauce à spaghetti dans un plat allant au four de 13 po x 9 po, graissé. Remplir les coquilles d’environ 1 c. à table du mélange obtenu au #3. Disposer les coquilles farcies côte à côte sur la sauce dans le plat.
5. À l’aide d’une cuillère, napper les coquilles farcies du reste de la sauce à spaghetti. Parsemer du Parmesan et du reste du fromage Fontina. (On peut préparer les coquilles jusqu’à cette étape, les couvrir d’une pellicule de plastique et les mettre au réfrigérateur jusqu’au lendemain. Il faudra alors ajouter 30 minutes au temps de cuisson.)
6. Couvrir le plat de papier d’aluminium et cuire au four à 350o F pendant environ 30 minutes ou jusqu’à ce que la préparation bouillonne. Servir aussitôt.
*** Ça en fait beaucoup! 4-6 portions il me semble. ***
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Source: revue Coup de Pouce, mars 2001